Jimbo Wales a entrepris de virer toutes les images qu'il considère comme pornographiques sur Commons. Bien sûr, ça surprend, les images sont restaurées, Jimbo re-supprime, re-restauration par quelqu'un d'autre, et Jimbo re-re-supprime.
Bon, sur le fond, je m'en fiche pas mal. Je ne passe pas ma journée à mater des zizis sur Commons (il y a des sites spécialisés tellement meilleurs). Sur la forme, je crois qu'on a viré des gens pour moins que ça. Sur la personne, je trouve très drôle de voir le créateur de Bomis faire ce genre de censure.
On a dors et déjà quelques claquages de porte (suivre the Village Pump, le bistro principal et anglophone de Commons, d'où j'ai repris le titre de ce billet).
Bref, ça va être l'histoire à suivre des prochaines semaines (on peut espérer des rebondissements, des épisodes, des débordements inter-projet, etc.)
Edit : Tant qu'on parle de ça, Esby dresse un bilan de la journée ici.
2 commentaires:
Je ne vois qu'une seule explication logique applicable à ce libertarien de Jimbo W. : le filtre "porno" appliqué à Commons fait de l'ombre à son Bomis...
Du grand n'importe quoi... je n'ai perso. jamais vu d'image pornographique sur commons (où alors alors elles venaient d'être à peine uploadées). Tout cela pue le puritanisme... à combattre par tous les moyens.
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