samedi 26 février 2011

Petits fichiers

Hier, je me vantais d'être le premier. Ça n'aura pas pris longtemps pour qu'on me mette le nez dedans.


Du coup je suis allé faire un tour dans le fonds Trutat sur Commons, puisqu'il y a des stéréoscopies de 1861, pour voir.

Pour ceux qui ne sont pas au courant, le fonds Eugène Trutat est conservé par les archives municipales de la ville de Toulouse ; il a été placée sur Wikimedia Commons dans le cadre d’un partenariat avec Wikimédia France. Ça représente 200 photos.

La plaque est rayée, il y a des manques et des piqûres. Qu'à cela ne tienne, ça peut se restaurer numériquement. Je regarde donc le fichier. Là, c'est moins enthousiasmant : la copie numérique qui est sur Commons est trop petite pour que ce soir d'une part faisable et d'autre part pour que ça serve à quelque chose d'y passer le temps. C'est d'autant plus dommage qu'il existe un fichier assez grand sur le site des archives de Toulouse (on distingue les briques sur les murs).

Bref, ces photos du domaine public ne sont pas destinées à dépasser une vignette d'aperçu sur un écran. La plaque n'est pas consultable aux archives, sous le grand fichier est inscrit : Tous droits réservés DIRECTION DES ARCHIVES MUNICIPALES DE TOULOUSE. On ne peut donc rien faire de plus, c'est dommage.

Quand on regarde les partenariats, il y a ceux qui donnent des fichiers utilisables en termes de taille (Bonnier, Mary Rose Trust, Regionarkivet, et le projet Phoebus qui est un peu particulier, parce que les fichiers sont produits par des commonsiens) et ceux qui donnent les timbres-poste (Brooklyn Museum, Rijksvoorlichtingsdienst, la Deutsche Fotothek, le Deutsches Bundesarchiv, le Tropenmuseum, le Nationaal Archief, Nordiska museet, Yorck Project).

Je sais bien qu'on accepte les versions réduites en taille et qualité en se disant que c'est mieux que rien, que les institutions qui acceptent de donner des petits fichiers ont peur qu'« on » se fasse du fric sur leur dos. Demi-mesure et compromis : personne n'est vraiment gagnant. Impossible de valoriser les petits, il y un minimum technique.


En regard de ça, les États-Unis mettent dans le domaine public et en ligne (pas besoin de passer des accords, donc, pour avoir accès au domaine public) des fichiers qu'on peut vraiment restaurer et utiliser. Un exemple : un portrait de Reagan : l'original, la restauration et comme je vous aime bien, je recadre sur son œil gauche (version restaurée) sans rien agrandir (ci-dessus).

Bref, il serait bien que les GLAMs comprennent que la mise en valeur de leurs collections en ligne passe par des fichiers décents en taille.


Finalement, pour revenir à la stéréoscopie, il y a dans le fonds Trutat des stéréo séparées, donc j'en ai recollée une, et j'ai tenté une restauration (voir ci-dessus) — qui a principalement consisté à atténuer les artefacts de compression, parce qu'en plus d'être petits, les fichiers sont bousillés à la compression.

vendredi 25 février 2011

Le Retour de la 3e dimension

En fouillant sur mon disque dur, j'ai retrouvé une petite douzaine de photos d'une petite église des bords de Loire.

Le genre d'église oubliée de tous, perdue dans la brume, attachée à un cyprès et classée monument historique. La Belle au bois dormant, version église.

En regardant mes photos, je me suis rendu compte que je pouvais essayer le coup de la stéréoscopie.



J'avais déjà parlé de ça il y a quelques mois, et ce qui marche avec les montagnes n'a pas de raison de ne pas marcher avec les monuments historiques.

C'est donc (à ma connaissance) la première vue stéréoscopique de monument historique sur Commons.

Au plaisir de vous voir loucher, donc…

Edit : évidemment il y en avait déjà (j'en reparlerai demain), mais comment voulez-vous que je les trouve si elles ne sont pas catégorisées a minima.

jeudi 24 février 2011

Autoupdating Commons:Special:NewFiles

Tout ou presque est dans le titre :
Un joli bidule qui affiche les fichiers récemment chargés sur Commons, qui se rafraîchit tout seul. Les aperçus lient vers les pages de description.

Le truc idéal pour remplacer la pénible séance diapos quand on reçoit des amis.



J'allais oublier… c'est ici.

samedi 19 février 2011

Abri antiatomique de Henri IV


Cet article est une ébauche.
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L'Abri antiatomique de Henri IV de France est un abri antiatomique construit pour Henri IV de France afin de le protéger des retombées radioactives des jacqueries.

L'abri a été construit sous le rendez-vous de chasse de de Gondi, à Versailles[réf. souhaitée].
Ce n'est que plus tard que Louis XIII de France, fils du précédent fera construire la premier château de Versailles pour cacher l'entrée de l'abri antiatomique.

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !


La clef de l'abri a été perdue lors de la tempête de 1999, ce qui explique que la visite des appartements ne comprenne pas la visite de l'abri.

jeudi 17 février 2011

Funfacts


Je suis passé par hasard par la page d'accueil de Wikipédia, ça m'a rappelé que j'aimais bien les nonsense type question de Trivial Pursuit : Le saviez-vous ?

Détour par les archives de l'an dernier.

Le Coca Colla est une boisson énergisante bolivienne, à base de feuille de coca.

En arrivant à la fin de le ligne, je me suis aperçu que j'avais mal lu le début.
Mario était baptisé Jumpman lors de sa première apparition vidéo-ludique en 1981. Il était d’ailleurs charpentier et non plombier comme actuellement.

On ne pense pas assez souvent à lire le CV des personnages de jeux vidéo.
La seiche flamboyante (photo) est la seule seiche toxique connue. Sa toxine est aussi meurtrière que celle de la pieuvre à anneaux bleus.
Turritopsis nutricula est une minuscule méduse capable d’inverser son processus de vieillissement et qui, pour cela, serait potentiellement immortelle.

La vie doit être passionnante, dans un aquarium…
L’Homme de Tian’anmen est le surnom de l’homme qui fut filmé et photographié alors qu’il s’efforçait de bloquer la progression d’une colonne de chars de l’Armée populaire de libération lors des manifestations de la place Tian’anmen, en 1989, en République populaire de Chine.

Pas de photo dans l'article : pas libre.

mardi 15 février 2011

Quelques trucs pratiques

Un truc qui fait que le wiktionary (en anglais) a plus de pages que le wiktionnaire (en français), ce n'est pas tant qu'il y a un robot qui conjugue les verbes tchèques (enfin, peut-être), c'est qu'il y a une foultitude de bidules qui aident l'édition.

Traduction 1

J'avais parlé il y a quelques mois (ça commence à faire une paye) du truc qui permet d'ajouter une traduction (ou plusieurs) dans la langue qu'on veut (voire même dans plusieurs langues), sans même savoir qu'il y a un bouton modifier en haut de la page. Ce bidule est assez logique : dans le paragraphe dévolu aux traductions, il y a deux champs de saisie qui attendent qu'on mette quelque chose dedans, on tape le code ISO 639 de la langue (ça fait peur quand on le dit comme ça, mais pour le français, c'est simplement fr) qu'on connaît dans le premier champ, puis on tape la traduction dans l'autre, en fonction de la langue on a le choix entre les genres et les nombres. On prévisualise avec le bouton Preview translation. À partir de là, on peut ajouter une autre traduction, ou bien on peut sauver en cliquant sur le bouton Save qui est apparu en haut à gauche de la fenêtre.

Il n'y a pas de surprise, on n'a pas à se poser de questions, on ajoute juste la traduction directement avec les traductions. Logique.

Traduction 2

J'ai remarqué celui-ci plus récemment.
Admettons que je traîne sur wiktionary parce que le mot anglais que je cherche n'existe pas encore sur la version francophone. Puisque je parle l'anglais comme une vache espagnole, je n'aime pas deviner les définitions, et comme j'ai une tendinite, je ne vais pas sortir mon dico papier… par contre, je assez enclin à partager la connaissance (surtout celle des autres).

Prenons un exemple biaisé (le principe des exemples n'est pas de vérifier les conditions de départ, mais d'illustrer la démonstration in fine) : fire.

Il y a une petite dizaine de définitions, avec plein de mots en anglais. Ça me fatigue déjà. [bâillement, étirage de bras]
Heureusement, il y a déjà un paragraphe traduction, avec plus ou moins une boîte déroulable (ou enroulable, ça dépend comment c'est selon) par sens. Et comme j'ai bien choisi mon exemple, il y a des tripotées de traductions dans des langues dont je n'ai jamais entendu parler (et qui par conséquent ne vont pas me servir à grand'chose) ; l'idée est donc de n'afficher que ce qui m'intéresse (en l’occurrence, parce qu'il y a occurrence, le français).

Il y a, dans chaque boîte, un petit lien (en haut au milieu) qui dit Select targeted languages (sélection de targettes en gage). Cliquez là-dessus.
Ça change les puces devant chaque nom de langue en une petite étoile blanche. Trouvez la langue qui vous intéresse (français s'écrit French en anglais), cliquez sur l'étoile associée, qui devient bleue.
Le Select targeted languages est devenu entre temps Save preferences (enregistrer les préférences), cliquez dessus.

Maintenant, vous pouvez fermer les boîtes déroulantes (il y a un truc à cliquer dans la colonne de gauche), la traduction en français est affichée dans l'en-tête de la boîte.

On peut changer de préférences quand on veut, on peut même choisir plusieurs langues, ça s'affiche à la suite.

On n'a plus besoin de lire le tatar de Crimée pour trouver une traduction anglais-français.

Flexions

Il ne s'agit pas de gymnastique suédoise, désolé.
C'est un gadget bien pratique (WiktAccFormCreation.js) dont la doc est ici et qui sert à créer rapidement (deux clics) les flexions (par exemple le pluriel d'un substantif).

En pratique, quand le chose est activé et qu'on arrive sur la page (bien sûr, je cherche et je ne trouve pas, et si je trouve, le premier qui va essayer va tout fiche en l'air pour les suivants, donc pas d'exemples), disons d'un nom commun dont le pluriel (comprendre son entrée dans wiktionary) n'a pas été créé, mais qui utilise le modèle idoine qui affiche le pluriel (ça commence à faire pas mal de conditions…)
Le lien rouge vers le pluriel est vert (ça fait bizarre, pourtant c'est comme ça). Et quand on clique dessus, ça ouvre la page du pluriel en mode édition (&action=edit&redlink=1) avec tout ce qu'il faut dedans. Il n'y a qu'à sauver.

J'ai vu ça sur en.wiktionary.org et sur simple.wiktionary.org

Le javascript dépend des modèles qui donnent les flexions (appelés les modèles avec accélération), ce qui veut dire que c'est un authentique vrai bazar véritable à mettre en place.
Mais ça va toujours plus vite que de taper à la main le modèle {{nouveau-pluriel}} (qui n'est pas si mal) avec tous ses petits paramètres recopiés à la main avec abnégation, faire une faute de frappe, recommencer, etc.

dimanche 13 février 2011

Avez-vous l'heure ?

Je viens de tomber sur un truc qui m'a fait penser à ma rubrique des modèles qui ne servent à rien.

C'est un modèle qui s'appelle {{horloge analogique}} et qui affiche le cadran d'une horloge à l'heure.

Il y a plein de paramètres sympas qui font des tas de trucs qui ne servent pas vraiment le but encyclopédiste de Wikipédia, mais qui sont toujours utiles pour avoir l'heure (au cas où on n'aurait pas l'heure sur son PC ou son smartphone). On me glisse à l'oreille que ça permet de décorer les infobox fuseaux horaires comme les lobbies des grands hôtels de bande dessinée des années 1930.

Quand on va voir sous le capot, on réalise que c'est fait avec la méthode la plus barbare qui soit : il y a 720 fichiers, avec les 720 heures du tour de cadran (60 × 12, si je ne me trompe). Pas question de calculer à la volée l'angle des aiguilles pour les afficher (ou comment faire grimper le nombre de fichiers).

Mais c'est tout en SVG, donc c'est bien (je ne sais pas bien pourquoi, mais c'est ce qu'il faut dire, enfin on m'a dit ça…)

Pour ceux qui ont perdu leur montre et qui traînent sur Wikimedia Commons, il y a le même modèle : {{horloge analogique}}.

Vous n'avez plus aucune excuse pour être en retard.

vendredi 11 février 2011

Simplification par la complication

La méthode peut surprendre, de prime abord : régler un problème en le rendant inextricable.

L'Alexandre de service s'est planté au niveau du nœud gordien, il n'a pas tranché où il fallait et maintenant le projet est mené tambour battant par une armée de poulets sans tête qui se cognent immanquablement dans les murs.

Ça a commencé comme ça… Comment se décider quand et pourquoi utiliser les modèles {{vieux}}, {{désuet}}, {{archaïque}}, {{ancien}} et {{vieilli}}, et surtout comment retrouver les entrées dans toutes les catégories associées ?

Rappel des arguments.

Posée en janvier 2006, déjà, la question obtenait une réponse complète et inutilisable en pratique de Michelet en avril :
  • Vieux = ici, contraire de actuel / moderne. C'est donc un terme dont l'emploi dénote une culture passée, qui n'est plus actuelle. C'est l'argot "jeune branché" de nos (grand-) parents. Un terme "vieux" est certes connoté, mais continue à être utilisé par une partie de la communauté.
  • Désuet = littéralement, qui n'est plus usité. C'est donc un terme qui n'apparaîtra pas dans un texte "normal" mais que l'on peut trouver dans un texte rédigé autrefois (par exemple le futur de choir : la bobinette cherra). Cependant, un terme désuet reste compréhensible pour un locuteur (raisonablement) cultivé. C'est par exemple le langage populaire employé par V. Hugo dans les Misérables, certaines formulations de J. Vernes...
  • Archaïque = forme ancienne (de la langue), qui n'est plus compréhsenible à l'usage moderne, soit parce que le mot s'est perdu, soit parce son sens a tellement dérivé qu'il en est devenu étranger. C'est l'argot de Villon : "le temps de ma jeunesse, où j'ai plus que tout autre galé" (??? Kèsako...ah oui, PPrésent= galant, on dirait maintenant "dragué"...).
  • Les deux autres termes n'apportent pas de nuance intéressantes pour un dictionnaire. Ancien est intermédiaire entre vieux et archaïque; vieilli est pratiquement synonyme de vieux (vieilli tend vers vieux sans l'avoir tout à fait atteint).

La seule avancée, c'est qu'on était un peu cons de se poser la question pour {{ancien}} et {{vieilli}}.

Et… c'est là que je désespère. En août 2009 s'ouvre une velléité de vote sur les définitions, démontrant s'il en était besoin que la nuance n'est pas compréhensible (si tant est qu'il y en ait une) par un rédacteur du wiktionnaire. Je désespère, non pas pour la solution qui consiste à abandonner toute logique au profit d'un vote par sms, mais parce que pour résumer un bazar pareil
Je propose de voter maintenant pour les différentes solutions envisagées :
  1. On ne change rien au système de 5 temps actuel : {{arch}} > {{désuet}} > {{vieilli}} > (normal) > {{néol}}, et on l'écrit sur chacun de ces modèles.
  2. On change légèrement pour {{arch}} > {{vieux}} > {{désuet}} > (normal) > {{néol}}.
  3. On change légèrement pour {{arch}} > {{désuet}} > {{vieilli}} > (normal) > {{néol}}.
  4. On change moyennement en utilisant des quasi-synonymes ({{arriéré}}, {{démodé}}, {{obsolète}}, {{passé}}, {{périmé}}, {{suranné}},{{vétuste}}, {{vieillot}} ; {{à la mode}}, {{courant}}, {{dernier cri}}, {{habituel}}, {{moderne}}, {{usuel}}).
  5. On change complètement en classant les termes par siècle d'abandon (donc si vides ils sont encore utilisés à présent).
  6. On change complètement en classant les termes par fourchette de siècle, éventuellement en affichant une frise de couleur. Nous pourrions même superposer ces frises en classant les termes par époque, dans une annexe, en utilisant pour le modèle de frise (ex : w:fr:Modèle:Tableau_Histoire_Hominines_années_1980).
    JackPotte 31 août 2009 à 01:13 (UTC)

Donc finalement, il n'est plus question de lexicographie ni d'usage, mais de classement par âge (ce qui est sans doute plus simple, mais qui ne répond pas à la question posée).
Étrangement, la discussion s'est à peu près arrêtée sur cet acmé.

Et en novembre, rebelote.
Cependant dans le parmi des solutions aberrantes, il s'en trouve pour garder un peu de bon sens :
Une règle de classification objective me parait utopique car c'est assez subjectif. Mais mieux vaut avoir des indicateurs compréhensibles, et pas 3 indicateurs équivalents comme aujourd'hui (archaïque, vieux et désuet), ni en rajouter d'autres comme (Usage ancien).

Ou de désespoir (impression de relire les Brèves de comptoir de Jean-Marie Gourio) :

Faites ce que vous voulez, personnellement cela ne me semble pas du tout clair et j’espère que vous ferez une page d’explication (sinon, je plains le pauvre lecteur qui comme moi ne verra pas de différence entre ces quasi-synonymes). Cdlt, VIGNERON * discut. 26 novembre 2009 à 18:35 (UTC)

Je me suis attelé à rédiger un argumentaire sur ce sujet, en l'alimentant avec toutes vos remarques. Je ne désespère pas de vous le montrer un jour ^^ Stephane8888 Discuter 27 novembre 2009 à 00:27 (UTC)

@Stéphane Tu me dis « Ton modèle (Usage ancien) se réfère à l'usage de la chose. J'ai cru que tu parlais de l'usage du mot (!) ».
Il est bien évident que je parle de l'usage du mot et non de la chose. Tout le monde l'avait compris.
D'où te viens cette interprétation alors que l'on parle de l'emploi de (Archaïque), (Vieux) et (Vieilli) ?
C'est comme si tu interprétais (Rare) comme s'appliquant à l'existence de la chose et non à l'usage du mot. --Béotien lambda 27 novembre 2009 à 06:30 (UTC)


ad lib.

Le sujet n'est d'ailleurs toujours pas clos.

Enfin, et j'ai pensé que ça allait vous intéresser, voici un sujet de réflexion libre (je ramasse les copies dans une heure) :

Sur un projet de dictionnaire où les définitions sont le résultat de votes auxquels prennent part des poulets sans tête, comment justifier l'emploi et l'ordre des modèles catégorisants {{rare}}, {{très rare}}, {{extrêmement rare}} et {{plus rare}}.
Dissertez sur le choix de critères objectifs et exogènes, sans séparer le fond de la forme.

mardi 1 février 2011

Panne annoncée/panne accidentelle

Alors que je me dépêchais d'avancer ma relecture d'un bouquin du partenariat BNF/Wikimedia France (voir là aussi) en prévision de la panne annoncée du 8 février (voir ), V'là-t'y pas que le truc meurt en direct :

Du coup, c'est plus difficile.

Edit : Finalement, ça a l'air d'être revenu.
Profitez-en, la fin est proche.